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            16 septembre 2022

            Hervé Lapie a fait part des demandes de la profession agricole au ministre de l'Agriculture le 10 septembre dernier. Un déjeuner avec les représentants des organisations agricoles locales a ensuite permis d'approfondir différents sujets. © Richard Cremonini

            Le 10 septembre, la profession agricole a rencontré Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture, afin d’échanger sur les dossiers prioritaires de la rentrée.

            À l’initiative de la Chambre régionale et de la FRSEA Grand Est, Maximin Charpentier et Hervé Lapie, présidents respectifs, ont profité de la visite du Ministre à la foire de Châlons-en-Champagne, le 10 septembre 2022, pour organiser un repas de travail avec l’ensemble des organisations agricoles de la région. Maximin Charpentier introduit les échanges en rappelant la richesse du territoire régional sur le plan agricole et sa capacité à innover. Hervé Lapie conforte ces propos, en soulignant que le territoire a depuis longtemps misé sur la souveraineté alimentaire et la production d’énergie.

            Les principaux sujets abordés par les organisations agricoles

            La profession a tout d’abord insisté auprès du Ministre sur la mise en place complexe des États Généraux de l’Alimentation et la difficulté incompréhensible et insupportable de ne pas pouvoir reporter les coûts de production pour la filière élevage.

            La gestion de l’eau fut aussi mise en avant en rappelant que l’agriculture prélève peu de volume dans notre région. À titre d’exemple, Hervé Lapie précise que dans la Marne le prélèvement est de 18 millions de m3, ce qui correspond à 10h de débit lorsque la Marne déborde. 3% de la surface agricole seulement est irriguée.

            Sur le plan réglementaire, il a été demandé plus de souplesse et de délai dans le déploiement du nouveau cahier des charges HVE, en agriculture comme en viticulture.

            Concernant le nouveau programme Directive nitrates, la profession a dénoncé son non-sens total. Rappelons que le coût des mises aux normes pour les sucreries, féculeries et usines de déshydratation, est estimé à plus de 100 millions d’euros, correspondant à la construction de bassins de stockage pour leurs effluents. Avec notre savoir-faire et les expériences réalisées sur la plate-forme de Thibie (les épandages sur couvert), Hervé Lapie demande au ministre de revoir cette réglementation de toute urgence.

            Inquiétude autour de l’assurance récolte

            Groupama et le Crédit agricole se félicitent de l’avancée de la réforme de l’assurance récolte, mais émettent des inquiétudes concernant les dernières modalités concrètes d’application, et la date de mise en oeuvre effective du dispositif prévue le 1er janvier 2023.

            Il est également soulevé l’intérêt de déplafonner l’épargne de précaution, car le plafond actuel ne correspond finalement qu’au prix de deux camions d’engrais. Le Crédit agricole souligne aussi l’importance de réfléchir à ne plus être dépendant du dollar, avec des règles contraignantes pour les exportations agro alimentaires.

            La filière betteravière a expliqué que tout était mis en place pour réduire les coûts d’énergie de 10 %. Elle demande également à ce que les betteraves néonicotinoïdes ne soient pas interdites d’ici 2 ans, s’il n’existe pas d’alternatives techniques issues de la recherche. « Si les surfaces de betteraves baissent, l’outil industriel risque d’être remis en cause ». La filière viticole champenoise évoque quant à elle des inquiétudes sur le développement possible de la flavescence dorée, et sur les évolutions des cahiers des charges HVE, qui risquent de donner un coup de frein à la belle dynamique entreprise depuis plusieurs années. Il est aussi demandé par cette filière, d’assouplir la fiscalité au niveau de la transmission des exploitations agricoles et viticoles (rapport Girardin), l’enjeu étant de conserver un modèle d’exploitation familiale et transmissive.

            Vers une décapitalisation du cheptel français ?

            La filière élevage se dit très inquiète sur son avenir, avec le risque d’observer une décapitalisation du cheptel. Il existe une très forte inquiétude sur la hausse des coûts alimentaires et d’énergie et le renouvellement de ces exploitations.

            Concernant un tout autre sujet, la MSA a mis en avant la gestion complexe de tous les dispositifs qu’elle doit accompagner depuis deux ans, avec toujours moins de moyens pour y parvenir. Elle fait état de deux projets majeurs, à savoir le Plan mal-être pour les exploitants et salariés, ainsi que le volet emploi et gestion de la précarité.

            Les JA du grand Est souhaitent connaître rapidement les modalités de mise en oeuvre du nouveau dispositif d’aide à l’installation, applicable en 2023.

            Coop de France évoque les conséquences de la baisse du pouvoir d’achat sur l’économie de certaines filières agricoles. La FDSEA demande une nouvelle fois à ce que, à partir de 2024, les cultures de protéagineux et les aménagements biodiversité, puissent être comptabilisés dans les 4% de surfaces non productives imposées par la nouvelle PAC.

            La filière luzerne milite pour continuer à promouvoir les bandes de luzerne non fauchées (Symbiose), pour répondre aux demandes de Bruxelles et agir efficacement en matière de biodiversité, et se dit prête à coordonner l’ensemble de la plaine pour simplifier son suivi. Enfin, la filière légumes demande un soutien fort et durable au niveau de l’emploi avec la pérennisation du dispositif Tode (allègement de charges pour les saisonniers), et demande son extension pour les permanents.

            Les réponses du ministre

            Sur la filière élevage, Marc Fesneau s’engage à revoir, dans le cadre du dispositif calamités, les critères de spécialisation afin d’ouvrir au plus grand nombre et ne s’interdit pas de traiter des situations particulières et justifiées nécessitant un accompagnement. Il compte également faire accélérer la procédure. Concernant l’exonération de la taxe foncière sur le non bâti, il souhaite réfléchir à un dispositif simple permettant à l’exploitant d’être directement ciblé sans passer par le propriétaire.

            Concernant EGAlim 2, le ministre confirme que le dispositif est complètement perturbé suite à la guerre en Ukraine. Cela devient, au-delà des négociations avec les GMS, un débat avec l’opinion publique. Il explique que « si la production n’est pas payée au juste prix, nous risquons de perdre notre souveraineté alimentaire : c’est un vrai sujet stratégique ».

            Le ministre considère que l’assurance récolte est là pour gérer les crises et non assurer un revenu. Il demande à la profession agricole de communiquer et de porter ce projet auprès des agriculteurs. D’autres piliers existent pour accompagner le développement de l’agriculture, à travers des dispositifs tels que France relance.

            Concernant le Varenne de l’eau, il est clair et sans équivoque : il faut concrétiser rapidement des projets de stockage d’eau et réfléchir à l’avenir, à une approche multi-usages de ces retenues d’eau. Il considère également que la France est très en retard sur le retraitement des eaux usées. À titre de comparaison, si le taux de retraitement est de 1 % en France, il est de 15 % en Espagne et de 80 % en Israël.

            Concernant le dispositif HVE, le ministre estime que cette certification est un bon modèle, car il est inclusif, et permet d’accompagner le plus grand nombre de chefs d’entreprise. Il s’engage à analyser les demandes de la profession avec ses services.

            Concernant la filière betteraves, il considère qu’il n’y aura pas de majorité à l’Assemblée nationale pour prolonger la dérogation betteraves néoni. Le ministre assistera au bilan des 2 ans mais ne s’engage pas à ce jour sur une dérogation supplémentaire.

            Enjeux énergétiques

            Concernant l’énergie, Marc Fesneau confirme que l’agriculture est prioritaire pour l’accès à l’énergie, mais il est également très inquiet sur les cours, qui deviennent intenables pour les entreprises. Ce sujet est français mais également européen, et c’est à ce niveau qu’il faut rechercher des solutions pour les entreprises.

            Le ministre a été très impressionné par le projet de démonstrateur en cours de réflexion et porté par la Chambre régionale, visant à créer une indépendance énergétique à l’échelle de l’exploitation et de son territoire, tout en conservant la valeur ajoutée pour les agriculteurs.

            Cette rencontre a donc permis d’aborder certains points de l’actualité syndicale et des problématiques de filières, en présence de l’ensemble des parlementaires et des services de l’État. Des rencontres ultérieures pourront être mises en oeuvre pour traiter les sujets locaux les plus urgents ,et accompagner les projets de filières.

            Maximin Charpentier et Hervé Lapie remercient le ministre pour avoir consacré la journée entière à découvrir l’agriculture de cette région, et espèrent avancer ensemble sur de nombreux points évoqués lors de cette rencontre de travail.

            Christophe Songy, directeur général Groupe FDSEA 51

             

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